Yes, we can... with GIMP !
Ce site est avant tout un lieu d'expérimentation et d'échange autour des pratiques de post traitement des images astronomiques. Mais au lieu de présenter une compilation des techniques de traitement par ailleurs largement détaillées sur d'autres sites en utilisant notamment la référence du moment PhotoShop, tous les traitements présentés sur ce site seront effectués à l'aide du logiciel du monde libre GIMP.
Dans ce cadre, tous les articles rédigés, loin de faire le tour de la question, doivent être considérés comme une première approche. L'appropriation que vous en ferez vous permettra ensuite, sans aucun doute, d'aller beaucoup plus loin dans le traitement de vos images avec GIMP.
Et d'abord, Pourquoi choisir GIMP ?
A cette question, plusieurs arguments peuvent être avancés et non des moindres :
- c'est un logiciel disponible pour une grande variété de systèmes d'exploitation
- c'est un logiciel évolutif par l'emploi de "greffons" et de "scripts"
- enfin, c'est un logiciel libre et gratuit, sous licence GPL
Un peu de contre culture ne peut pas faire de mal, c'est quelque fois sur les chemins de traverse, loin des courants majoritaires que l'on peut trouver le meilleur...
Cependant, certains esprits chagrins avanceront que GIMP présente toujours des inconvénients rédhibitoires pour le traitement des images. Voyons quels sont leurs principaux arguments.
Les sujets de la discorde.
Une ergonomie discutable : sur les versions antérieures (jusqu'à la version 2.4) la multiplicité des fenêtres flottantes donnait une impression de complexité. Certains ont même employé le terme "d'interface morcelée de GIMP". La version 2.6 réduisait cette impression puisqu'elle permettait d'ancrer les principales fenêtres de manière flexible. La nouvelle version 2.8 (mai 2012) permet de bénéficier à ce jour du mode "fenêtre unique" à l'image de PhotoShop. Parrions alors que les détracteurs et les récalcitrants seront satisfaits de cette avancée !
Une gestion 8 bits : par le traitement numérique permettant de modifier une image dans le but de l'améliorer ou d'en extraire des informations, GIMP supprime une partie des informations disponibles. Et dans ce cas, La Palisse n'aurait pas dit mieux, moins on en a au départ, moins il nous en reste à l'arrivée !
C'est bien par rapport à ce second point que les critiques sont les plus vives. Alors vivement les prochaines versions de GIMP. A partir de maintenant le développement de Gimp s'appuie définitivement sur GEGL et devient capable de traiter des images en 16 ou 32 bits (entier ou flottant) : annoncé sur le site depuis quelques jours, déjà 90% de fait et dispo dés la v2.10
En attendant, il est temps d'investir dans la pratique de ce logiciel, histoire d'être prêt pour la prochaine échéance...
Ce site est avant tout un lieu d'expérimentation et d'échange autour des pratiques de post traitement des images astronomiques. Mais au lieu de présenter une compilation des techniques de traitement par ailleurs largement détaillées sur d'autres sites en utilisant notamment la référence du moment PhotoShop, tous les traitements présentés sur ce site seront effectués à l'aide du logiciel du monde libre GIMP.
Dans ce cadre, tous les articles rédigés, loin de faire le tour de la question, doivent être considérés comme une première approche. L'appropriation que vous en ferez vous permettra ensuite, sans aucun doute, d'aller beaucoup plus loin dans le traitement de vos images avec GIMP.
Et d'abord, Pourquoi choisir GIMP ?
A cette question, plusieurs arguments peuvent être avancés et non des moindres :
- c'est un logiciel disponible pour une grande variété de systèmes d'exploitation
- c'est un logiciel évolutif par l'emploi de "greffons" et de "scripts"
- enfin, c'est un logiciel libre et gratuit, sous licence GPL
Un peu de contre culture ne peut pas faire de mal, c'est quelque fois sur les chemins de traverse, loin des courants majoritaires que l'on peut trouver le meilleur...
Cependant, certains esprits chagrins avanceront que GIMP présente toujours des inconvénients rédhibitoires pour le traitement des images. Voyons quels sont leurs principaux arguments.
Les sujets de la discorde.
Une ergonomie discutable : sur les versions antérieures (jusqu'à la version 2.4) la multiplicité des fenêtres flottantes donnait une impression de complexité. Certains ont même employé le terme "d'interface morcelée de GIMP". La version 2.6 réduisait cette impression puisqu'elle permettait d'ancrer les principales fenêtres de manière flexible. La nouvelle version 2.8 (mai 2012) permet de bénéficier à ce jour du mode "fenêtre unique" à l'image de PhotoShop. Parrions alors que les détracteurs et les récalcitrants seront satisfaits de cette avancée !
Une gestion 8 bits : par le traitement numérique permettant de modifier une image dans le but de l'améliorer ou d'en extraire des informations, GIMP supprime une partie des informations disponibles. Et dans ce cas, La Palisse n'aurait pas dit mieux, moins on en a au départ, moins il nous en reste à l'arrivée !
C'est bien par rapport à ce second point que les critiques sont les plus vives. Alors vivement les prochaines versions de GIMP. A partir de maintenant le développement de Gimp s'appuie définitivement sur GEGL et devient capable de traiter des images en 16 ou 32 bits (entier ou flottant) : annoncé sur le site depuis quelques jours, déjà 90% de fait et dispo dés la v2.10
En attendant, il est temps d'investir dans la pratique de ce logiciel, histoire d'être prêt pour la prochaine échéance...